Un poème pour les Godas

Les Godas ne comptent pas pour des prunes,
C’est un solide noyau qui des journaux fait la une.
Bref, sans pépins, ils tracent leur sillon,
Mine de rien, ils creusent, vont au charbon.
 
À l’unisson, ils entonnent une chanson,
Ben mon Kiki ! t’as vu l’avion !!!
La réussite récompense leur labeur,
Fêtes grandioses aux parfums des feux de la chandeleur.
 
Kimmerling leur donne des ailes, aiguise leur fringale,
Bingo! La roue tourne, à ce jeu ils décrochent la martingale.
Avec brio, ils excellent de toutes parts,
Vaste est leur recueil sous leur étendard.
 
Dame ! Leur bonne conduite vaut bien une Chapelle
Chapeau bas ! Leur odyssée est belle !!!
André RICARD

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